|| Petit vols entre amis... [Mission de Rang C] ||

Konoha, un village exempt de défaut à première vue. Des shinobis à la volonté et à la loyauté inébranlable, des villageois heureux à chaque jours et un village quasi-constamment baigné par les rayons du soleil. Oui mais voilà, depuis quelque temps, le vice commence à refaire surface, de petits larcin au grand terrorisme. Bien sur, les shinobis assurent la protection du grand arbre qu'est Konoha, mais depuis qu'il n'y a plus d'Hokage officiel, le village sombre petit à petit. Quelques filles de joie ne se cachent même plus, et des passages à tabac sont devenu fréquent dans les rares ruelles dépourvu de luminosité du village.

Akimoto s'était levé aux aurore pour pouvoir profité de la douceur et l'étranger parfum du matin. Tout semblait se réveiller, les oiseaux, les villageois, le vent, petit à petit Konoha se réveilla. Mais ce spectacle n'emballa pas plus que ça le jeune homme, qui était venu là pour saisir les premiers rayons du soleil et se réveiller tranquillement. Une mission finirait de le faire sortir des bras de Morphée. Il se rendit au palais de l'Hokage, l'intendant lui donna un ordre de mission, sur un parchemin. Apparemment, il était trop occupé par la lecture de son livre, pour lui parler, ou même le regarder. Ce comportement ne fit que renforcer l'idée que Konoha avait besoin d'un Hokage au plus vite. L'idée de postuler à ce poste le traversa. Après tout, si un fainéant était à la place de l'intendant du village, pourquoi pas lui, en tant que chef ?! Non, ce n'était pas pour Akimoto. Il devait d'abord se concentrer sur la recherche de sa famille et l'accomplissement de la maîtrise du Senjutsu. Une fois sortit du palais, il ouvrit le parchemin.

Un commerçant de Tanzaku c'est fait cambrioler et demande justice. Retrouver les criminels et restituer les objets voler si possible. Le commerçant vous aidera autant que possible.

Tanzaku ?! Une bourgade situé à quelques kilomètres du village, essentiellement composé de commerce et quelques lieux touristiques. Déjà tout équipé, Akimoto partit sur le champ en direction de la destination de sa mission.

Le juunin rejoint Tanzaku en deux heures. Alors qu'il pensait trouvé une ville avec une ambiance asser calme de bon matin, il déchanta rapidement. La fête battait son plein. Tout les commerces ambulant, ou non, était ouvert, certains saltimbanque commencèrent leur petit spectacle en jonglant, ou faisant quelques tours de magie. Et le shinobi fut des plus surpris de se faire accoster par des jeunes filles aux mœurs douteuse. Elles n'avaient apparemment pas peur de se faire arrêter par les forces de l'ordre, tout du moins si il y en avait. La foule commençait à s'amasser petit à petit, et Akimoto mit plusieurs dizaine de minutes avant de trouver l'échoppe de la victime. Il rentra et se présenta.

"Je suis San'jou Akimoto, juunin de Konoha. Vous avez demandez l'aide du village. J'aurais besoin d'indices concernant les voleurs. Racontez moi comment ça c'est passé, si vous les avez vus, quelles caractéristiques avaient-ils, que vous-ont-ils prit etc etc..."

En attendant la réponse de son interlocuteur, il regarda autour de lui et tout était asser bien ranger, mais la majorité des rayons étaient vides...

L'échoppe de la première victime était une papeterie ninja. Il est rare de voir des ninja utiliser de l'encre ou des papiers en combat, mais les bénéfices étaient tout de même présent. D'autant plus que les marchandises ouvaient difficilement périmer. Il y a trois jours, cette papeterie s'était faite cambriolée. Heureusement qu'un courageux ninja était là.

"Eh bien, d'après le registre, il manque quelques centaines de feuilles de chakra, de différentes tailles, de l'encre ninja, quelques pinceaux et plumes. Ils n'ont pas touché à la caisse. Je me dit que c'est parce qu'elle est un peu maigrelette."

Le commerçant eut un rire gêné, et parut se souvenir de quelque chose.

"Je crois également qu'une autre boutique a été cambriolée il y a quelques temps. Je ne saurais vous dire de quoi les voleurs auraient l'air, ni même comment ils sont entrés. Si vous voulez, je veux bien vous laisser jeter un petit coup d'oeil."

*Des feuilles de chakra différentes, de l'encre ninja et des pinceaux avec plumes, et tout ça sans toucher à la caisse... Qu'est ça peut vouloir dire...?!*

Ha si seulement, il pouvait y avait eu quelqu'un lors du vol. Akimoto avait besoin d'autres indices. Et c'est ce que lui donna le marchand, apparemment, une autre boutique s'était fait cambriolée. Le juunin eut l'autorisation de fouiner un peut partout dans la boutique, mais cela ne servit à rien, à part à confirmer les dires de la victime. Si seulement, un témoin avait été là, n'importe quoi, un homme, un animal, même une machine, tant que cette dernière possédait la vue et une bonne mémoire. Cette dernière pensée le fit sourire, mais en aucun cas ne l'aida dans son enquête. Le shinobi n'avait plus rien à faire ici, autant aller voir l'autre boutique.
Il revint voir le marchand et fit une invocation. Une grenouille rouge tacheté de noir apparut dans un nuage de fumée. Elle faisait une dizaine de centimètre et avait un carquois ou était dissimulé un rouleau vierge. Le batracien sauta sur le bureau et salua le marchand, plus effrayé qu'autre chose, d'un croassement sonore.

"Voilà une grenouille messagère. Si jamais un détails vous revient, ou que vous êtes encore volé, écrivez sur le parchemin, ou parlez à la grenouille. Elle me retrouvera, et ne vous inquiétez pas, elle comprend notre langue."

C'était pour le moins un moyen de communication très rudimentaire. Akimoto aurait put aussi laisser un clone, mais ça aurait gaspiller plus de chakra inutilement. A quand un nouveau moyen de communication ?! Mais il avait une mission à accomplir, et se dirigea vers l'endroit que lui avait indiqué le marchand.

Akimoto traversa, encore une fois difficilement, les rues de Tanzaku et fit face à la seconde échoppe victime, peut-être il y en aura d'autres, mais c'était le dernier souhait du juunin, il espérait trouvé les voleurs en flagrant délit et en finir avec cette mission. La boutique avait des bandages à la place de verre comme vitrine, et la porte avait un trou aussi gros qu'un Ornithorynque. Il poussa doucement la porte qui chancela avant de tomber, apparemment, le vol était récent, ou sinon le marchand était partit loin d'ici et des voleurs. Tout en observant les rayons dévalisés, San'jou prit la parole.

"Il y a quelqu'un ?!"

Il regarda dans la caisse poussiéreuse et ne trouva plus rien. Soit on lui avait volé, soit le marchand était partit avec ses économies. Akimoto passa ensuite dans l'arrière boutique.

"Hého ! J'aurais besoin d'informations sur ce qui s'est passé ici... Je suis un shinobi du village de Konoha, j'enquête sur des vols à Tanzaku... Il y a quelqu'un ?!"

Le magasin était saccagé. Tout portait à croire qu'il y avait eut lutte. Quelques petites gouttes de sang étaient sur le comptoir, à quelques centimètres de la caisse enregistreuse. Le magasin était à l'origine un fournisseur de matériel de jardinage et de bricolage. Seules quelques vis étaient restées sur le sol ou sur les étagères. Tout cela était bizarre.une étiquette était visible en bas d'une étagère, disant qu'il y avait eut juste au dessus des bombonnes de gaz. Peut être que le livre de compte ou le registre en dira plus sur ce que le magasin vendait réellement.

Spoiler:

Il n'y avait personne dans l'arrière boutique. Et à part quelques balais, une télé et des produits ménagers, il n'y avait rien d'autre, même pas un semblant de stock. Après avoir fouiné quelques minutes, Akimoto retourna lire le registre du magasin. Sur le comptoir, ou se trouvait le livre historique du magasin, quelques gouttes de sang étaient disséminées autour de la caisse enregistreuse, peut-être le marchand, blessé par les voleurs, avait prit peur et embarqué tout ce que contenait la caisse. En tout cas, ces tâches rouges ne signifiaient généralement rien de bon. Le détective en herbe consulta le livre. Page après page, il découvrit que le lieu ou il se trouvait, était une échoppe qui fournissait du matériel de jardinage et de bricolage. De grosses commandes avaient étaient livrer pour des festivités au village de Konoha. Des cordages, chaines, clou, bois, bassines et autres matériaux de construction avait été ainsi commandé. Le nom du destinataire était des plus vague, 'village de Konoha'.

Il continua de feuilleter le livre pendant quelques minutes avant de le refermer dans un soupir. Il recommença à fouiller le magasin délabré et nota de nouveaux détails. Apparemment, des bombonnes de gaz et d'essence étaient entreposées, avant d'être, elles aussi, volées. Cela pouvait être inquiétant, mais aussi insignifiant, le gaz et l'essence était des produits indispensable pour toutes festivités qui se respectent.
Akimoto s'assit sur la seule chaise, encore à peu près stable du magasin, et sortit un livre et un pinceau de son sac. Il nota tout ce qu'il avait apprit depuis le début, ce qui avait été volé, l'état des échoppes visitées, les marchands etc etc. Après s'être fait un pense-bête, il revient au présent. Le premier magasin était en asser bonne état, et il s'agissait d'une papeterie ninja, le second était quasiment détruit et il s'agissait d'un fournisseur de matériel de jardinage et bricolage. Quelques feuilles ninja manquaient dans l'un, et plusieurs bombonnes de gaz manquaient dans l'autre. Le marchand était en pleine forme dans le premier, et, dans le second, le marchand était probablement blessé ou mort, en tous cas, il était absent. Les deux vols, à première vue, n'avaient tout simplement aucun rapport. Ce qui tracassa le plus, le juunin, c'était que son village était mentionné dans ce second magasin. Mais rien à faire, il ne savait pas quel rapport il y avait entre les deux vols, peut-être qu'en visitant un troisième magasin, il finirait par trouver le chainon manquant.

Il sortit du magasin qui, agonisant, finit par s'écrouler dans un craquement de bois sinistre. Un immense nuage de fumée se dégagea alors de l'effondrement du feu magasin. Après avoir recouvert Akimoto de poussière et autres détritus, jusque là au sol, le nuage finit par se dissiper, et le juunin put rouvrir les yeux. La première chose que croisa à nouveau le regard du shinobi fut un homme qui entra dans la magasin d'en face, ce dernier ne sembla pas plus que ça, gêné par l'écroulement d'un magasin. En même temps, ce n'était pas ce qui manqua à Tanzaku. Akimoto, après avoir nettoyé ses vêtements, suivit l'homme et entra à son tour dans le magasin, bien décidé à élucider l'enquête dont on lui à donné la charge.
C'était la première fois qu'il voyait un magasin aussi bien entretenu, pas de rayons vide, et encore moins délabrés. Sans faire attention aux deux, trois clients présent, il se dirigea vers le marchand, étant donné qu'il était en face de l'ancienne échoppe détruite, peut-être avait-il vu quelque chose.

"Bonjour ! Je suis un shinobi envoyé par Konoha pour enquêter sur quelques vols dont sont victime, apparemment, plusieurs marchands. Auriez-vous quelques informations sur ce qu'il s'est passé au magasin qu'il y avait en face, ou même celui de papeterie ninja, au coin de la rue ?!"

Le gérant du magasin est une personne assez "spéciale". Il n'a jamais réellement eu confiance en qui que ce soit, et encore moins aux ninjas. Tout ce qu'il voit, constate, entend, lit ou dit est consigné dans un journal. Il rédige ce carnet de bord de ses journées depuis plus de 10 ans. Autant dire que l'arrière boutique a dû être plusieurs fois réaménagée pour pouvoir entreposer tous les cartons qui contenait son carnet.

"Si j'ai vu quelque chose de suspect? Vous avez une date? Une heure? Je garde tout, j'observe tout. Ces sales branleurs ne savent pas ce qui les attends! Ha! mais je sais tout! Je sais même que les gouvernements ninja ont des antennes pour nous écouter avec le chakra! Ils nous observent! Alors moi aussi je les observe. Je regarde tout, rien ne m'échappe. Et un jour j'aurai les preuves de ce que j'avance! On me traite de fou, mais un jour...ILS VERRONT!!! Ces insolents verront qui est fou de croire un gouvernement voyeur!"

Il continua son discours de paranoïaque en faisant de grands gestes, les yeux déments, en postillonnant à cause du débit insondable de ses paroles. Il marchait lentement, très lentement vers l'arrière boutique. Il s'arrêtait sans arrêt pour se retourner, regarder la rue, fureter, espionner, et surveiller. Il surveillait également Akimoto, de peur de recevoir un implant sous cutané qui le localiserait partout dans le monde. Il savait aussi pour ces projets gouvernementaux.

"Alors?! Vous avez une date?! Une heure?!"

Akimoto était tombé sur un bon client. Un bon client pour un hôpital psychiatrique. A l’entendre, les gouvernements shinobis espionnant les petites gens… Et lui, évidement, sortait du lot, il gardait absolument toutes les informations accumulées ces dix dernières. Il demanda au juunin de lui donner une heure ou même une date, mais le shinobi ne put répondre dans l’immédiat, son interlocuteur étant trop occupé à insulté le monde entier et à soupçonné la cigale d’avoir volé la fourmi. Ses palabrassions inutiles et paranoïaques, tout comme ses gestes expressivement ridicule, firent rappelé à Akimoto qu’hélas ce n’était pas le seul illuminé qu’il avait vu, au contraire. Le monde ne manquait pas de personnes suspicieuse, mais la rencontre du vendeur le fit ramener plusieurs années en arrière, lors d’un de ses nombreux voyages avec son grand-père.

Akimoto était âgé de onze ans, et faisait office d’apprenti confirmé à son grand-père. Le duo traversait un petit village lorsque le comportement des habitants les interpella. Les rares personnes dans les rues s’empressèrent de rentré chez eux, tandis que toutes les maisons avaient fenêtres et portes closes. Les deux shinobis ne purent s’empêcher d’en savoir plus sur ce village et ses habitants. Au fil du temps, tout les villageois ressemblaient au responsable du magasin, tous étaient paniqué, persuadé d’être épier, et soupçonnèrent les deux ninjas d’être des espions avant de se raviser quelques jours plus tard. Le ‘grand-père’ d’Akimoto mena sa petite enquête et découvrit que les soupçons de tous étaient bel et bien vrai. Plusieurs antennes étaient camouflées autour du village, rapportant tout ce qui se passait dans ce dernier, à un village voisin. Au final, il s’agissait d’une sombre histoire du clan, que n’avait pas tout saisit le jeune Akimoto, et le vieux Akimoto avait perdu les détails pour comprendre le fin mot de l’histoire. Et c’est en repensant à cette histoire que le ninja émit l’hypothèse que les craintes du marchand soient fondées. Après tout, ils étaient dans l’une des villes commerciales majeures du pays du feu, voir du monde, de l’espionnage serait-il si tiré par les cheveux que ça ?!

Ce fut sur cette question à lui-même qu’Akimoto revint à lui et dû chercher fond de son esprit ou dans son cahier, ou tout été répertorié depuis le début de la mission, pour trouver une date au marchand. Ce fut finalement dans son esprit qu’il trouva la réponse.

"La papèterie ninja a été cambriolé il y a trois jours, je ne connais pas l’heure précis. En ce qui concerne le feu magasin d’en face, vous devriez le bien savoir non ?! Il était juste en face de vous."

Le cinglé farfouillait dans ses cartons frénétiquement, toujours en injuriant le gouvernement mondial et en l'accusant de faits potentiellement véridiques mais infondés. Certains dictons ou croyances populaires rapportent que les fous savent ce qu'est le vrai monde. Notamment un ancien hurluberlu à la coiffure bien étrange. On l'avait traité de fou car il était cancre à l'école, et avait pourtant développé plusieurs théories de physique quantique. On l'avait lui aussi traité de fou, mais il avait eu raison sur bien des choses.

"Le monde s'intéresse aux étoiles! Et si ce n'était pas ce que l'on dit? Et si les différents gouvernements avaient déjà mené leur enquête? S'ils nous avaient dit qu'ils s'agissait de masses incandescentes pour qu'on évite de se poser trop de question? Et si les anciennes légendes étaient vraies? Si les étoiles étaient des âmes de défunts? Ou alors une autre forme de vie intelligente qui nous étudie? Ça ne m'étonnerai pas que des êtres humanoïdes gris aux grands yeux noirs nous observent en vue d'une invasion. Ha! Voilà! Il y a trois jours... "

Le fou raconta alors tout ce qu'il avait vu depuis minuit. Un chat, qui selon lui portait un émetteur et des micro-caméra pour surveiller le petit peuple.

"À la papeterie, il y a eut la clientèle habituelle. Quelques touristes, soit disant, ils sont sortis avec quelques feuilles. Mais il y a eu un groupe que j'ai trouvé plus suspect que d'ordinaire. Il y avait un gars habillé en noir et des lunettes de soleil. J'ai remarqué ça, parce qu'il pleuvait ce jour là. Environ deux litre et demi par centimètre carré. On pataugeait, et lui avait des lunettes de soleil. Il était bien entouré; environ cinq ninja. Les cinq ninja sont sortit avec chacun quatre grands sacs remplis de papier je crois. Il devait y avoir autre chose, mais j'ai eu une cliente à ce moment. Pour hier...la boutique d'en fa...cceeeee...qui vous a parlé d'un feu? Votre gouvernement? Vos supérieurs? Il n'y a jamais eu de feu! Non non! Ce sont ces même gus là, qui étaient venus à six, avec celui avec ses lunettes. Mais ils n'étaient pas six. Plus, j'ai pas su compté, il y a eu un gars qui est venu, et qui m'a dit que je ne voyais rien et que je n'avais rien vu. Lui il devait travailer dans les services secrets! J'en suis sûr! Mais personne ne me fera taire! Ca non. Ils sont entrés, ont fait du bruit, il y a eu une explosion où je sais pas trop quoi, et puis plus rien! Comme s'ils avaient disparus! Mais le type avec des lunettes, je sais où il est!"

Incroyable le débit de mots qu'avait cet homme, tout l'opposé d'Akimoto. Absolument tout. Akimoto avait un débit de parole asser court mais précis, tandis que son interlocuteur avait le dialogue long et plutôt parsemé d'ineptie paranoïaque. Et cela ne s'arrêtait jamais, même lorsqu'il farfouillait dans ses cartons à la recherche des informations qu'avait besoin le shinobi. Toujours les fesses à la place de la tête, le responsable s'élança dans un long monologue sur les étoiles... C'était bien le seul mot qu'avait compris Akimoto, tous les autres n'était que pure...démence.

*Alors d'après ce dingue, une étoile serait, soit une âme d'un défunt, ou une autre forme de vie... C'est pas comme dans Starkiller Wars !*

Il s'agissait d'un film fantastique, ou un groupe de personne voyage de planètes en planètes à la recherche de cristaux de 'force'. Une histoire bon pour les jeunes enfants, asser tiré par les cheveux pour Akimoto. Mais il croyait plus en ce film qu'au discours du marchand. Finalement ce dernier se releva pour faire face à face avec son interlocuteur. Akimoto ne put dire si c'était le fait qu'il soit rester trop longtemps la tête en bas, ou si ses histoires ne lui soient montés à la tête, mais cette dernière était, pour sur, rouge. Et il donna les informations tant recherché par le ninja.

Akimoto n'enregistra pas la première phrase du marchand à propos d'un chat espion, mais fut beaucoup plus attentif à la suite. C'était un jour de pluie, qui fut marqué par l'arrivée d'un homme en noir, arborant des lunettes de soleil. Cet homme était entouré de cinq ninja... Voilà quelque chose de très inquiétant... Le marchand confirma que c'était bien eux qui avait cambriolé la première échoppe. Quant à la seconde, il s'agissait apparemment du même groupe, un peu plus nombreux cette fois, mais toujours avec cet homme aux lunettes de soleil. Akimoto pensait qu'il serait préférable de mettre tout ça par écrit, mais le marchand lui dit qu'il savait ou ce trouvait ce mystérieux cambrioleur aux lunettes de soleil. Puis plus rien. Un blanc. Akimoto n'en revenait pas, cet homme balançait quatre cent mots minutes alors que le ninja n'avait rien demandé, et maintenant que ça devenait enfin intéressant, le marchand resta muet.

"Oui ?! J'attend... Dites moi ou est ce fameux homme aux lunettes de soleils et aux gardes du corps ninja...S'il vous plait ?!"

Quoi qu'il en soit, la mission allait se corsé. Mais Akimoto en sera sûr une fois qu'il aura rencontré cette bande de cambrioleur, après tout, est que un homme, sur d'être surveillé par un chat, peut être crut, lorsqu'il dit avoir aperçu une bande de ninja...?!

Des cris, des bruits sourds. La rue commerçante était en panique. Un bar subissait une attaque, et une foule fuyait le sinistre. De la fumée sort du bar. Le vieil homme paranoïaque sauta sur un carnet et nota ses observation. Sa mémoire était affolante, car il écrivait le nom de toutes les personnes qu'il voyait s'encourir. Et il vit une personne aux lunettes de soleil.

-LÀ! C'est lui! C'est lui que vous cherchez! Oh mais!

Il écrivit encore avec une célérité malsaine. Il avait vu plusieurs fois la même personne. Ses yeux étaient révulsés. Peut-être était-il vraiment fou.

Suite mission : https://narutoshinjidaiv2.keuf.net/villes-du-pays-du-feu-f151/expedition-punitive-a-tanzaku-mission-de-rang-a-t429.htm#3601