Les réponses perdues...Libre

C’était un jour froid, triste, et gris. Un jour qui restera écrit dans les mémoires et dans les livres. Il y a encore quelques heures, un cercueil blanc plongeait six pieds sous terre pour offrir le repos éternel à une victime. Un village entier, et même plus, pleurait cet être blanc comme la neige. Même le ciel a versé quelques larmes, accompagnant le désespoir et la tristesse des villageois. Certains étaient plus atteints par la mort du Mizukage, notamment sa petite sœur. Les obsèques finies, tout le monde pu reconnaitre un long manteau rouge, appuyé sur un arbre non loin. Certains crachèrent dans sa direction, d’autres lui lancèrent des insultes, mais tous lui jetaient la responsabilité. Son visage caché sous sa capuche ne laissait rien transparaitre.

En cet instant présent, ce dernier homme au manteau rouge s’était isolé sur une rive du fleuve arc en ciel. Les galets blanchâtres étaient baignés par le cours d’eau et les feuilles des arbres bruissaient au rythme du vent, résonnant avec le clapotis de la pluie sur les galets et la houle du fleuve. Un autre bruit se mêlait à ceux-ci… Il ressemblait à une respiration haletante, mais sifflante comme la voix d’un serpent. Un murmure s’échappant des lèvres tremblantes de l’homme en rouge. Sa capuche voletant et fouettant son visage ne suffisait pas comme punition. Il répétait inlassablement dans un sifflement :

-Washi no sei desu washi no sei desu washi no sei desu… (C’est ma faute, c’est ma faute, c’est ma faute…)

Des mots douloureux pour ce curieux personnage. Et pourtant, bien que se torturant à le dire, il avait raison. Étrange cependant. Il l’a aimée, elle l’a aimé, et c’est à cause de cela que tout est arrivé. Ils se sont aimés pour le meilleur et pour le pire. Mais ô grand jamais Dante n’aurai imaginé qu’elle se ferait assassiner. Il a toujours cru pouvoir la protéger de ses propres conneries… Mais il n’a pas pensé que d’être avec elle, et de profiter de cela était la plus grande connerie de sa vie. Et aujourd’hui, c’est le Mizukage qui en a payé les frais en rejoignant la terre pour un repos éternel. Une larme perla sur sa joue, et coula jusqu’à son menton. Cette larme symbolisera alors la chute du chat rouge. Tombant lentement vers les abysses, elle s’éclata au sol se séparant de son entièreté dans un silence religieux. Et au moment de son éclat, l’explosion.

Libérant la rage, la tristesse, la haine, la douleur contenue en lui, Dante poussa un hurlement à réveiller les morts, libérant quelques vagues syllabes « Washi no sei desu ! ». L’explosion fut plutôt contenue, mais les galets blancs allèrent s’encastrer dans d’autres roches, plus loin, dans des arbres, et dans le fleuve. Un chakra rougeâtre enveloppait la silhouette du Raikage. Jamais il n’avait ressenti pareille haine contre lui. Pas même avec Sakura ou Akisa… Il tomba à genoux, dans son propre désespoir, et martela le sol dénué de galets avec son poing rageur. Lorsqu’il n’y eut plus rien à frapper, il se leva et chercha autre chose à annihiler de sa puissance vengeresse. Il se dirigea vers un rocher d’un seul bond en ligne droite, et asséna un violent coup de pied au rocher. La terre sembla trembler un instant, et le rocher éclata en un monceau de gravats… Le fait de détruire la nature ne le calmait pas. Il avait besoin de venger la mort de Kirara, ne fut-ce que cela pour se faire pardonner. D’abord il lui fallait trouver qui était l’assassin… Cette pensée le réjouit un brin. Savoir que quelqu’un d’aussi fort vivait lui donnait envie de le détruire, de l’empêcher de vivre, et peut être même de le tuer. Cette sensation incroyablement satisfaisante d’écraser quelqu’un de sa propre main, de le réduire à néant, de le noyer dans son sang. Il y a longtemps que l’éclair rouge n’a souhaité la mort d’une personne, et par sa main. Il en perdait même cet instinct de prédateur qui le rendit si craint autrefois…

Le silence retomba sur la rive arc-en-ciel… Le calme plat, et pourtant le sang bouillonnait toujours autant dans le corps du Raikage. Peut être était-il trop vieux pour ces conneries, et que se la jouer cool et jeune n’était plus de son âge… Le chakra rouge qui l’enrobait finit par s’estomper. Il manquait quelque chose à cette rage. Quelque chose qui pourrait permettre à Dante de devenir ce qu’il a toujours rêvé d’être et d’accomplir ses objectifs…Mais quoi ? Peut être que la personne qui approchait l’éclairera sur ce manque.

Invité

Aujourd'hui fut enterrée la Mizukage. J'y étais, comme tout le village. Un long manteau noir, comme beaucoup. Il y eut maints discours, et maints pleures, et encore des discours. C'était à n'en plus finir. Le jour était triste, et froid. Le soleil n'apparaitra pas aujourd'hui, et la pluie arriva. Le cercueil de la Shinboi du village caché de la brume, de ce bois doux et rare, noir, semblait attiser les larmes des cieux. Toutes les larmes, aujourd'hui, fut de peine et de tristesse. Quand l'enterrement fut terminé, comme il était prévisible de le penser, peu d'activité fut trouvé dans les rues. Cet image me rappelait, autrefois, l'enterrement d'une jeune fille que j'aimais.

Tous le village semblait gris, froid et débordant de tristesse. Peu de personnes avaient osé prendre d'autre vêtement que ces habits noirs. Moi-même, je gardais ces vêtements, me dirigeant au hasard dans le village de la Brume. Instinctivement, je me dirigeai vers la Vallée des brumes. J'aimais bien cette endroit... Malgré la pluie, la tristesse et les nuages, je m'y sentais toujours plus... Serein? Comment dire, c'est juste plus agréable d'y être... Peut être cela me rappelle d'anciens souvenirs, trop lointains pour que je m'en rappelle? Ou... Peut être pas... Mes pas m'amenèrent vers la Rivière Arc-En-Ciel. Et puis...

Un cri... Détresse, peine, souffrance, douleur et haine. Tout ça, en un simple cri. Un cri à en fendre l'âme, a faire tomber le cœur, un cri terrifiant mais qui inspirait la pitié... C'était ce j'avais entendu il n'y a pas trente secondes. Les mots que l'on entendaient dans ce cri n'étaient même pas compréhensible à mes oreilles. La voix était grave et masculine... Mais je n'avais jamais entendu une telle voix. Je ne connaissais personne non plus dans une telle détresse. Depuis mon arrivée à Kiri [NdA: sachant que je m'y trouve depuis quelques mois déjà], jamais je n'avais entendu quelque voix semblable, aussi... Je me demandais bien qui criait ainsi.

Me connaissant, je savais pertinemment ne pas pouvoir me concentrer sans avoir assouvie ma curiosité, quoi que je devais avouer que cela me tenais les entrailles. On ressentait, par ce cri, tellement de haine, de douleur, que cela en était terrifiant... Bon, je devais malgré tout faire ce que je devais faire, après tout j'étais un Jônnin de Kiri! Certes, je n'étais pas le plus puissant, mais que pouvais-je faire d'autre sinon rassuré ma conscience, et étanché ma curiosité?

Sur ces pensées, je n'hésitai pas. Je n'avais certes pas mon katana si me défendre devrais être en mesure, mais je ne pensais pas devoir le faire. Je n'avais pas de mauvais pressentiment quant à faire cela, bien que je ne doutais pas à devoir faire face à un homme dont la douleur, j'imaginai, plus mentale que physique, serait intense. Mes pas étaient rapides, et mon regard vif. Je tentai de trouver cette personne au plus vite, et surtout, avant que rater quelque chose de trop important! Mon cœur hésitait encore à le faire, et ma tête hurlait de laisser mon passage dans une autre direction que celle où j'allai. Pourtant... Je savais que je devais le faire, mon instinct me le dictait.

J'arrivai enfin sur la rive de l'Arc En Ciel. Il y avait là un homme en vêtement rouge. Je ne le connaissais pas, non... Cependant, je l'avais déjà vu... Oui, il était à l'enterrement de Maitre Mizukage... Et beaucoup pestait contre lui, d'ailleurs... Cependant, ce n'était nullement mes affaires. Je m'approchai de cet homme, doucement, avant d'entamer le dialogue:

"Et bien... De quel mal souffrez-vous? Peu importe les circonstances, mais puis-je vous aider?"

Je savais cela idiot, mais que dire d'autre? Que pouvais donc bien dire d'autre sinon cela? Mes yeux bleus se fixèrent sur le visage de l'inconnu... Je remarquai son bandeau, c'était un ninja de Kumo. Je me demandais bien pourquoi il était-là... Je ne pensais pas que ce n'était qu'un hasard. Le hasard n'existe pas, rien n'est que coïncidence... il y a toujours un lien logique... Et ma curiosité me poussait a vouloir découvrir le lien logique entre la présence de l'homme, le fait que le peuple pestait contre lui, et la mort de Maitre Mizukage... Si c'était plus compliqué que ça...

Invité

Le village de Kiri no kuni étais totalement silencieux aujourd'hui étais le funeste jours de l'enterrement du mizukage Kirara Koori. Un voile noir c'était étendue sur le village de l'eau, tous les villageois étais en deuil et pleuré cet être pur qui était leur chef. Toutes étaient fermé les rues dessertes seul quelques silhouettes noirs erraient dans les rues. Certaines semblaient ressentir une véritable souffrance de la mort de cet resplendissante fleur du village, d'autre y allaient surement pour la forme ses décisions étant parfois contesté par les ninjas. Il restais une dernière catégorie qui y allais par devoir et respect pour la défunte, Tsuga faisait parti de cette catégorie.

Il portait un long manteau noir qui cachait l'entièreté de son corps hormis son visage. Il masquait ainsi les cicatrices de son corps, pour lui il ne devait pas ce distingué en aucun cas en ce jour une seul personne étais à l'avant de la scène Kirara Koori. Lorsqu'il arriva il resté quelques minutes avant le début des obsèques. Il ne fut pas surpris de voir autant de monde, le village entier devait être réunis tous autour du cercueil d'un blanc des plus pur qui abritait la morte. Plusieurs dignitaires du village de la foudres étaient présent l'un d'eux semblait particulièrement affligé de cet disparition.
Le jeune genin de kiri n'ayant pas particulièrement connue la morte, il alla ce placer à un endroit assez éloigné il ne voulait pas prendre la place de quelqu'un qui voudrait lui faire un dernière adieux. A la fin de la ceremonie il alla voir un homme un peu plus âgé le saluant il lui chuchota cette question :

'' Sensei ce qu'on raconte sur les circonstances de ca mort est-ce vrai?''

Plus tôt dans la journée, Leck ce réveilla devant sa fenêtre la lumière du jour n'était pas encore présente et il sentait la douce plus couler le long du carreaux. Il avait dormi la non pas car il l'avait voulu mais surement que Deviliona avait pris le contrôle partiel du corps une sorte de somnambulisme actif mais pas dévastateur en connaissance le Démon. Il ouvris donc les yeux et regarda le jardin du manoir, un beau mélange de tradition japonaise et de jardinerie occidental, comme le jour qui commençais a montrer le boue de son nez il était triste.

"c'est aujourd'hui..."

Leck repensa que l'enterrement de "Maitre" Mizukage était aujourd'hui, depuis son retour a Shoubai le conseille de Kiri l'avait nommer Intendant au titre de Mizukage, en gros il venais d'être promus sans véritablement l'être il assumerais ses fonctions de Jônin ainsi que de Sensei en plus de celle de Kage qu'il n'est pas... Aussi il commença par ce douché et faire sa toilette, plus qu'un autre jour il devais être présentable, il choisi sa plus bel tenu, un costume occidental lui aussi de couleur blanc pas le genre de costume actuel mais un ancien costume dit "d'époque" en velours. Il sorti un jabot noir ainsi qu'une chemise noir a dentelle au boue des manches. Il ce prépara une bonne parti de la mâtiner il avait même pensé a un discourt au cas ou les dignitaire du village de la brume lui demanderais de le faire mais vu sa popularité négative au sien du village il en doutait fortement. Puis après lui il pris Irène... oui il était inconcevable de laisser son sabre chez lui il ne l'avais jamais quitter depuis qu'il l'avais reçut. Il enleva du sabre les bandelette noir qu'il y avait sur le manche et y accrocha a la place des ruban blanc eux aussi attacher de la même façon que les noirs. Et a l'endroit qu'il avait modifier pour accueillir des câbles d'acier il attacha une cordelette argenter. Voila le Demonis était fin près la cérémonie ne devais pas tarder a commencer. Il sorti du manoir des Demonis maintenant qu'il en était le seul maitre... et commença a pénétré dans le ghetto du village et oui bien mal vu dans le village malgré qu'il s'assagissait d'une famille noble les gens de ce clan était véritablement détesté par leur trait gracieux macabre et étrange. Il traversa le village pour arriver a la vallée brumeuse un endroit de kiri asses calme ou réside également au fond un cimetière... le cimetière des ninjas du village la ou était les précédant Mizukage et tout les héros. A son approche fit mauvaise impression au gens du village même si plusieurs l'acceptait volontiers d'autre était retissant a s'approcher de lui il s'agissait d'une tension, aucune insulte ou cracha ou encore regard noir n'était lancer les gens s'écartait de lui et lui tournait le dos comme s'il n'existait pas. La cérémonie allait commencer, et Leck ne pu s'empêche d'entendre des insultes dans un coin éloigné de la cérémonie... il ce tourna et vis le Raikage la contre un arbres capuchon sur la tête les gens n'était guère aimable avec lui des crachas vers lui des insultes. Le Demonis aurait eu presque pitié de lui... Presque. Il pris sa place dans la première ligne de Jônin qui était au garde a vous Katana en mains bien ranger dans son fourreaux. Deux heures plus tard c'était la fin tout le monde commençais a ce diriger vers la tombe et déposer des fleur sur la tombe de Kirara... Leck ne le fit pas il ne voulais pas rendre hommage a cette femme il ne la connaissant pas plus que cela pour lui ce n'était que la Mizukage, et une mauvaise Mizukage dans le sens que ses conviction ne convenais pas a Leck... mais il l'acceptait.

'' Sensei ce qu'on raconte sur les circonstances de ça mort est-ce vrai?''

Tsuga était la... depuis un petit moment Leck l'avait repris sous son ailes, Yoko Junrei avait abandonner le poste de Sensei cela ne devais plus l'intéressé et elle n'avais surement plus le temps... on va dire qu'elle avait augmenté le rythme de sa carrière.

" Que dit ont a propos des circonstance de la mort du maitre Mizukage ? "

Soudain avant que Tsuga ne réponde un Hurlement sourd presque inaudible retenti en Leck... non pas en Leck au loin derrière les arbres près du ruisseaux qui coupe Kiri en deux. Leck fit un signe de la tête en direction de Tsuga lui disant de le suivre. Ils marchèrent vers l'endroit ou le cri semblait provenir... Riku Hoshi était la Leck avait lu son dossier il le connaissait comme sa poche du moins sur le papier. Mais ce n'était pas cette homme qui avait hurler... c'était un autres Dante le Raikage sa peine devait être bien élever.

"Et Bien Raikage-san... la haine et le chagrin vous rongerait elle ? Ne vous laissez pas tant aller dans la culpabilité Kirara-sama était la Mizukage elle n'avais pas eu ce poste pour rien si elle n'est plus c'est car elle a rencontrer un ennemie plus fort qu'elle... elle était consciente du danger et vous n'y étés pour rien... alors ressaisissez vous même si vous avez d'autre chat a fouetter Kiri compte sur votre soutien tout comme moi a présent"

L'air était oppressant. Les poumons de Dante étaient opprimés par l'ambiance, la culpabilité, la haine, la tristesse et tant d'autres choses à la fois. Il se haïssait tellement. Peut être même plus que la personne qui a assassiner l'être le plus cher qui lui ait été donné d'aimer. Même avec les années, il ne s'est jamais senti aussi mal d'avoir perdu quelqu'un de cher. Un immense vide s'est créer en lui, lui poignardant le coeur, encore et encore. Chaque coup était plus douloureux que le précédent. Les larmes voulaient sortir, juste vouloir...Mais rien ne pouvait se passer. Car désormais, quelqu'un l'observait. Un ninja de Kiri, présent à l'inhumation s'était retrouvé en face de l'éclair rouge. Il devait être arrivé suite à l'explosion émotionnelle de Dante. son regard était pesant. Dante se ressentait encore détesté. Il n'avait jamais réellement senti cela. Dans son petit village natal, tout le monde l'adorait, tout le monde l'adulait. À Kumo, il a pris le fait d'être une arme comme une marque de respect, un sentiment de puissance, et aussi comme une crainte. Et de fil en aiguille, il est devenu l'idole nationale. Une situation qui lui plait assez. Même si parfois cela est difficile.
La plupart des gamins tentent de l'imiter. Des genin se sont vus démembrés par un piège lors d'une mission. Ils avaient choisis de manger une pizza en pleine mission, et ne pourront plus jamais combattre. D'autres part, la haute école ninja de Kumo connaissait un succès grandissant. Tout le monde veut devenir aussi fort que Raikage sama. Des dizaines de familles se sont installées dans le village et autour pour permettre l'enseignement aux enfants.

Les formations données dans le village sont aussi très prisées. Les motivations de Dante en ont convaincus plus d'un, souvent par vécu, et une foule est venue suivre une formation en ingénierie, en médecine, en science. Tout cela pour aider le village à atteindre son but. D'autres l'ont fait par crainte. La guerre entre Kiri et Konoha risque de déteindre sur de petits villages. Kumo est sans doute l'un des mieux équipé et protégé comparé aux autres villages. Si la guerre devient mondiale, Kumo pourra protéger plus de civils. Mais nous nous égarons. Dante est toujours aussi bouillonnant. Ce ninja le détaille de part en part. Maintenant il remarque le bandeau. Ah oui tiens. Dante a mit un bandeau de son village aujourd'hui. Ses conseillers le lui avaient demandé pour des raisons diplomatiques. Maintenant que les obsèques étaient terminées, il n'en avait plus aucune utilité. Il le détacha de sa cuisse et le laissa tomber au sol.

Voilà que maintenant ce gus propose son aide, pensant que Dante souffre d'un mal physique. Bien qu'il ait le coeur en miette, cela n'est pas réellement physique. Mais cette proposition signifiait qu'il n'était pas au courant de la situation, ou qu'il ne croyait pas à la culpabilité de Dante. Peu importe. Dante ne répondit pas, et tourna la tête cherchant quelque chose d'autre à regarder, espérant ainsi à faire comprendre qu'il ne voulait pas en parler.
L'eau du fleuve coulait normalement, comme toujours. Les feuilles des arbres bruissaient, et rares sont les oiseaux qui gazouillaient. Les nuages gris annonçaient une pluie imminente, en masquant l'astre blanchâtre de leur sombre épaisseur. Les arc-en-ciel n'étaient donc pas présent en ce triste jour. D'ordinaire, c'est un lieux magnifiques. Longues et heureuses ont été les promenades en compagnie de Kirara dans ce magnifique lieu. Ça semble tellement impossible qu'elle se soit faite assassinée. Et les jours heureux semblent tellement proches...C'est presque si elle était tombée dans les bras de Dante, un poignard en plein coeur, exprimant ainsi les coeurs liés détruits à jamais. Mais avant de parler des motivations de Dante, revenons au petit monde réel. Deux gus venaient d'arriver. L'un était connu de la mémoire de Dante, l'autre ne semblait être qu'un genin, et avec le sens logique tordu du Raikage, il devait être à la charge de l'épéiste de Kiri. Bien évidemment, Demonis kun s'enquit de titiller le Raikage. D'après lui, Kirara était tombée sur plus fort qu'elle, et que Dante n'avait pas à culpabiliser... Quel abruti!!!

*Quel boulet!! Je le crois pas! Comment peut on être aussi con?!*

S'ensuivit alors un bon nombre d'insultes mentales à l'égard de Leck. Si Dante culpabilise, ce n'est pas pour rien. Il y a de très bonnes raisons qui le dépassent. Mais évidemment, les gens ne voient et ne comprennent que ce qu'ils veulent. Aussi, Leck ne peut comprendre les sentiments de Dante. D'autant plus qu'il ne sait pas la moitié de ce qu'il s'est passé entre eux.

"Plus fort qu'elle? À part moi, il n'y a foutre personne dans ce putain de monde de plus fort qu'elle! Et ne parle pas de chose qui te dépassent!"

Oh oui, Dante était vraiment remonté. Sa haine transpirait de tout les pores de sa peau. Et maintenant, ceux qui lui parlerait devraient subir sa colère.

[Désolé, pas des masses d'inspi]

Invité

Le sensei étant absent depuis la mort de Kirara il ne connaissait point les rumeurs qui couraient sur la fin de cette femme. Il lui demanda, mais avant qu'il ne puisse répondre, un cri emplie de tristesse et de remord ce fit entendre. D'un signe de tête son sensei lui demanda de le faire. Alors qu'il courait à une vitesse moyenne vue la distance à parcourir, le genin songea à la ''promotion'' de son sensei. Il se retrouverait avec une surcharge de travail son entrainement en pâtirais peut-être, mais celui qu'il recevait était surtout basé sur des missions qui amélioraient ses techniques de combat ainsi que son relationnel, chose dont il avait cruellement besoin vu ses piètres performance qui jetaient la honte sur son clan. Il reprendrait surement ses entrainements seul dans la nature, la nature étant aussi belle que ravageuse comme un kunoichi d'ailleurs.

Ils arrivèrent dans un endroit isolé deux hommes étaient présent un ninja de Kiri nommé Riku, ainsi qu'un homme de Kumo est pas n'importe qui Dante-sama chef du village caché de la foudre. Tsuga ce souvint que la plupart des habitants du village ne l'aimaient guère chose normal un kage lors de sa vie est souvent contesté chose oubliée à sa mort, cependant lui vivait depuis 200 ans de quoi accumulait les actions controversées. Mais cela n'était pas la préoccupation du jour cet homme venait de perdre sa promise, l'un des phénomènes les plus cruels et douloureux que la vie nous offre. Cet être si puissant et charismatique était à cet instant comme un animal blessé attaquant n'importe qui la douleur l'aveuglant. Regardant l'homme Tsuga sans mots dire, lui fit comprendre ses sentiments envers lui qui à cet instant connaissait l'enfer.

POWUP !

Sujet expiré faute d'un creux d'activité -_- (quel dommage).

Personne ne répondra plus je pense

C'est vrai c'est dommache...J'aurais bien aimé la suite... Bref, il est déjà locké ^^